Syndrôme de l’imposteur, hyper-exigeance envers soi-même, dépendance émotionnelle, besoin maladif de correspondre à ce que l’on attend de nous jusqu’à en faire un burn-out… Tous ces maux ne laissent pas beaucoup de place à l’amour de soi.
C’est justement le cheminement d’un travail pour aller mieux : se retrouver, se reconnecter à soi, à ses valeurs et enfin prendre sa place dans le monde… Pour s’accepter, et pourquoi pas (soyons fous), s’aimer enfin !
Comment laisser les autres nous aimer, entrer dans une relation saine lorsque l’on ne s’aime pas assez soi-même ? Le manque que l’on ressent est un vide, que l’on recherche parfois à combler grâce à des relations (amoureuses, amicales, professionnelles) qui s’avèrent toxiques pour soi.
Si cela vous parle, je vous propose un accompagnement sur-mesure, adapté à chacun, qui permet de se retrouver. En travaillant sur votre ligne du temps, sur votre histoire et en vous allégeant de vos pensées limitantes et vos peurs inutiles, je vous propose d’enlever les armures et les masques que vous portez.
Bien souvent ce sont nos peurs qui régissent la confiance que nous n’avons pas ou avons perdu. Se donner la possibilité d’échouer pour apprendre et peut-être recommencer différemment, c’est s’offrir la confiance dont nous avons besoin dans la vie.
Il est d’ailleurs crucial de comprendre que la confiance grandit souvent pendant l’enfance, sous le regard d’adulte référent bienveillant. Pensez à votre enfance et la manière dont vos parents vous ont éduqués… Vous ont-ils montré que vous étiez capable d’apprendre, d’évoluer, mais aussi de vous orienter vers des choix qui vous ont épanouis ?
Confiance en soi et estime de soi : quelle différence ?
On confond souvent les deux mais la confiance et l’estime de soi sont sur deux niveaux différents :
- La confiance en soi définit nos capacités, ce qu’on a conscience de savoir faire ou d’être capable de faire. Dans ce cas, cela rejoint l’action, le “faire”.
- L’estime de soi compare l’image que l’on a de soi par rapport à nos valeurs. Dans ce cas, cela parle de “l’être”.
On peut, par exemple, avoir une carrière professionnelle et avoir conscience de nos propres capacités à endosser des responsabilités ou endosser des tâches, mais tout de même avoir une piètre image de soi-même.